Mon journal lunaire du 28 juin 2024 – Mes Petits Secrets De Lune – Mes Petits Messages – Dernier Quartier du 28 juin –

Mon journal lunaire du 28 juin 2024 – Mes Petits Secrets De Lune – Mes Petits Messages – Dernier Quartier du 28 juin –

 

Chers amis lecteurs, bonjour ! Votre auteure est ravie de vous retrouver dans « Mes Petits Messages » pour ce Dernier quartier de Lune. Nous entrons dès aujourd’hui dans une parenthèse où le temps semble ralentir, nous offrant le loisir de plonger en nous-mêmes. C’est là que nous pouvons configurer un équilibre fragile entre notre cœur et notre imagination qui travaille sans relâche pour façonner un environnement plus clément. Tel une fleur qui se referme face à l’adversité, nous devons rester ouverts à la possibilité de rencontrer des défis. Aujourd’hui, nous serons accompagnés par les trois cartes de L’Oracle Œil De Lotus : la carte 13 – Eté, la carte 49 – Interdiction, la carte 7 – Isolement.

Poursuivons cette exploration, hier encore, nous avons effleuré du doigt une réalité propre à chacun, une vérité qu’il nous a fallu accepter. Cette prise de conscience, bien que parfois déconcertante, a ouvert d’autres horizons. Les conséquences de nos préoccupations ont parfois engendré des troubles, des déséquilibres dans notre quotidien. Dans ce contexte, il semble essentiel aujourd’hui d’écouter les signaux émanant de notre Être Intérieur, de réfléchir posément, et de ne pas prendre de décision trop hâtives. L’espoir d’un renouveau demeure bien présent, mais pour le rencontrer, nous devons simplement saisir cette parenthèse lunaire que l’univers nous accorde, car c’est dans cette pause que nous retrouverons nos forces et réévaluerons notre élan vital.

Loin de chez moi, dans la douce quiétude de la Sarthe, à la Flèche plus précisément, je m’accorde une pause bien méritée après les tourbillons du déménagement familial. C’est ici dans ce petit coin de verdure, au sein d’une charmante maison atypique, que je trouve refuge avant de retrouver mon bien-aimé. Assise sur la terrasse en bois patiné par les saisons successives, d’une teinte grisâtre,  une tasse de café entre les mains, j’écoute le bruissement des arbres, leurs feuilles dansent au rythme du vent léger, tandis que les oiseaux chantent leur mélodie, et les insectes vaquent à leurs occupations. Les grandes herbes sauvages embaument l’air. Le soleil caresse ma peau, réchauffant mes pensées. Je me laisse emporter par cette harmonie,  savourant chaque gorgée de café comme un doux réconfort. Diégo, le vieux chien de ma fille, repose à mes pieds cherchant la sécurité et la proximité, ses yeux emprunt d’une confiance inébranlable, semblent dire que c’est là qu’il appartient, au creux de ce foyer nouvellement établi. Fidèle compagnon, il a trouvé sa place dans mon cœur, dans cette infinie tendresse, je me rappelle combien nos liens avec les animaux sont si précieux pour notre équilibre…

Avec toute ma bienveillance, votre humble auteure,

Monique B S E

 

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