Une farouche ardeur mentale pour changer d’air et tout oublier
Au moment où j’ai commencé à écrire cet article, le dessin d’une longue et parfaite courbe apparut dans le ciel dégagé du petit matin. Un signe que j’ai perçu en le regardant, comme étant un signe avant coureur de l’arrivée d’un grand virage, d’un changement radical, la fin d’une longue quête de soi, le début d’un nouvel engagement. Sa carte karmique, sa faiblesse est représentée par le 5 de carreau qui symbolise la peur de ne pas en avoir assez ou le désir d’en vouloir toujours plus. Ce nouveau mois de l’âme risque fort de nous donner du fil à retordre avec le jeu de la vanité puérile de nos inquiétudes, surtout lorsque les questionnements concerne le budget ou l’incertain d’une situation. En prise avec le terrain sur lequel on progresse chaque jour, rend nerveux, impatient, et demande une rigueur dans les actions pour maîtriser ces triples énergies mentales, pour évacuer le danger des angoisses remuées, pour découvrir les raisons de l’harmonie, pour que la houle des émotions se calme, et puisse saisir : l’aide fortuite que la Providence envoie en vue de sceller une première étoile sur le « walk of fame » que l’on trace ou l’effet miroir de l’Intelligence Infinie pour qui seule la dimension sentimentale et l’amour des choses et des êtres comptent.
Dans ce mois de l’âme, puissant générateur d’énergies, l’aventure devient possible si on sait mettre le turbo en route, si on accepte l’idée de s’enfoncer en territoire inconnu, de se séparer des résistance intérieures, si on ne laisse pas les peurs de ne pas pouvoir atteindre les objectifs ou, les peurs des regards des autres et de leurs avis divergents, briser les rêves.
Etirons ce mental et prenons conscience de son ouverture, de ses capacités intellectuelles, de ses capacités créatrices, de ses capacités d’expression pour profiter des influences que ce mois unique nous propose.
C’est vrai, il souffre ce cœur, mais il contient aussi une vie, une réalité qui me manquait… Vivant, réel, douloureux, sensible… il peut même aimer…Cette peine m’éveille à mon besoin le plus profond, celui d’aimer. Cesse d’appeler cela « douleur ». Dis plutôt intensité, émotion, énergie, amour… et vois ce qui se passe.
En nous abandonnant à nos sentiments, quels qu’ils soient, nous accédons à notre centre. De là provient l’amour… Béni soit le chagrin qui nous initie à la vérité du sentiment, parce que cette douleur nous enseigne le Cœur. Extrait du livre de Mario Montano, Rider Tarot intuition et inconscient. Le voyage intérieur.
Posons nous la question :
Est-ce que je veux bien me remettre en question ?
Et, à nous de partir sur les horizons des chemins inconnus. Bonne lunaison.
Bonjour Monique
Bonjour à toutes et tous ainsi qu’à la fratrie.
Nous voilà continuer la route ! … , que dis-je, … la navigation vers nos objectifs
ou vers nos souhaits les plus profond !
Le mois lunaire précédent que tu nous exprimais Monique, était très significatif
sur cette notion de naviguer, s’adapter par rapport à la houle, l’horizon,
mais aussi profiter des belles accalmies lorsque les tempêtes sont passées.
Cette puissante sensation d’être posé sur son embarcation et maître de sa destiné
reste et restera durant de mois long !
C’est une autre sensation, que tu décris encore parfaitement Monique,
qui s’ajoute à ce panel d’expériences.
Aujourd’hui, ce fut ma première présentation de mon futur projet professionnel.
C’est avec un mélange de ces émotions et ressentis, comme l’assurance, la volonté,
la détermination mais aussi l’interrogation, une impression à la fois de vide
mais aussitôt combler par l’émergence de ce projet, qui jaillit.
J’étais détendu dans l’ensemble, relâche mais cela n’est venu que ressèment,
à force de naviguer, justement vers des points précis, des étapes réellement obligatoires
où l’on doit tamponner et valider comme un passage, comme une validation.
C’est à force de tenir rêne longue la navigation de ma route que j’ai pu point par point
enclencher et obtenir des résultats significatifs.
Et c’est là Monique comme tu nous l’évoque dans ce nouveau mois lunaire,
qui se forge une » farouche ardeur mentale pour changer d’air et tout oublier » . . . !!
Oui !! … le mentale prend de plus en plus d’ardeur, je bouge, je laisse de côté
ce passé professionnel et autres, … jusqu’à l’oublier !! tellement ce poids,
cette emprise étouffait mon propre épanouissement.
Tout comme toi Monique, l’horizon s’éclaircit et la vue fut dégagé et plus nette.
Comme à notre côté la belle image du visage de cette femme qui de part
son épanouissement, se développe, grandi, prend de la lumière
dans un premier temps puis se restructure et se redéveloppe encore derrière
.. et ainsi de suite …
pour après commencer à mettre de la couleur sur son visage …
Tel se représente la tendance de cette semaine.
Le visage est le reflet de tout notre être, il exprime les intentions,
les émotions et ce qui nous représente.
Lui apporter par « figuration »des couleurs,
c’est affirmer sans complexe ce que l’on recherche.
Pour chacun, nous franchirons les étapes de ces visages de cette femme,
et jusqu’à mettre progressivement nos couleurs de nos choix en fonction
de nos attentes et objectifs …
Pour mon cheminement,
j’en suis en parti à « penser à choisir les premières couleurs » c’est vrai !
pour que je puisse Mettre de la couleur sur mon intention professionnelle.
Il y a de la liberté qui s’exprime, beaucoup d’énergie qui demande à être libéré.
C’est une période où une multitude d’informations et de situations
se suivent, se superposent et forment un maillage débouchant sur une ou
plusieurs solutions et concrétisations.
Lorsque l’on est en création d’activité, il faut d’abord avoir la capacité
d’être autonome, se créer des objectifs journaliers et assurer tout autres
rdv et concertations avec les accompagnants et conseillers.
Ce qui en ressort déjà rien qu’aux prémices entrepreneuriale,
c’est que chaque jours est différent.
Chaque jours un nouveau trait, un nouvel aspect, un nouveau visage,
et une nouvelle couleur . . .
Bon mois lunaire à tous et la fratrie.
Ainsi qu’à toi aussi Monique 😉
A bientôt.
Marco.