Du 9 octobre 2018 au 7 novembre 2018.
Voici les quelques lignes qui dépeignent l’atmosphère et la Sagesse de ce nouveau mois ou cycle lunaire :
Le soleil très Uranien de l’âme de ce passage se démarque par son attachement passionné à la liberté individuelle et par son attachement à être lui-même. Il trouve son véritable plaisir en travaillant ou en vivant dans un milieu ou un cadre dans lequel règne des bons sentiments ou une entente cordiale. Sous l’influence de la valeur numérique de son chiffre 6 qui domine, il mettra beaucoup de temps à mettre en route un nouveau projet ou a démarrer une nouvelle phase de vie néanmoins, il sait pertinemment que le changement est nécessaire mais il trouve toujours la bonne excuse pour ne pas œuvrer vers le changement en réalité, au lieu d’en venir aux faits, trop de bourrage de crâne l’empêche d’aller de l’avant alors, il attend le prochain cycle…
Cette figure nous conseille de respirer profondément, de dénouer notre cravate et de nous détendre. C’est tout à fait naturel de commettre des erreurs. Elles sont même les bienvenues car la vie offre bien plus que d’être un expert en toutes les matières! Extrait de Osho Zen Tarot.
- Pour la petite histoire de ce passage, (je vous laisse le soin de l’adapter.)
« C’est dingue, je me sens obligé(e)d’être constamment sur mes gardes pour défendre mon statut, ma liberté, mon pouvoir d’achat, ma sécurité, ma famille, mes désirs d’ailleurs, c’est pourquoi s’il le faut, je n’hésiterais pas une seule seconde à brandir mes revendications, je ferais de la résistance, j’irais même dans la rue pour attirer l’attention. En attendant, je suis tendu(e), t’as rien compris, je ne fais pas l’aumône, laisse-moi dans ce qui me fait souffrir, dans ce qui encombre mon ego. J’attendrais le passage de la prochaine lune, peut-être que d’ici là je serais moins tendu(e). »
« Me voici l’Homme de pouvoir qui ne baisse pas les yeux et qui n’a pas peur d’affronter les regards, je donne peut-être l’impression de ne pas avoir de cœur et pourtant si on prêtait l’oreille, on l’entendrait battre ce cœur, le montrer serait insensé, j’ai gravi les échelons un à un pour arriver au sommet, aujourd’hui je ne suis pas content, je suis tendu, il m’a lâché, c’est ballot maintenant je vais me mettre à douter, je dois être sur mes gardes, montrer les crocs pour renforcer la stabilité de mon gouvernement. Au fond, peut-être que j’en demande de trop. »